Chapitre 05 - L’idéal suprême que toute société peut se proposer

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Traité politique, V, §01

Dans le § 11 du chapitre II nous avons montré qu’un homme est son propre maître alors surtout qu’il vit le plus sous la conduite de la raison, (...)

Traité politique, V, §02

L’on connaît facilement quelle est la condition d’un État quelconque en considérant la fin en vue de laquelle un état civil se fonde ; cette fin (...)

Traité politique, V, §03

De même que les vices des sujets, leur licence excessive et leur insoumission doivent être imputées à la Cité, de même en revanche leur vertu, (...)

Traité politique, V, §04

Si dans une Cité les sujets ne prennent pas les armes parce qu’ils sont sous l’empire de la terreur, on doit dire, non que la paix y règne, mais (...)

Traité politique, V, §05

Quand nous disons que l’État le meilleur est celui où les hommes vivent dans la concorde, j’entends qu’ils vivent d’une vie proprement humaine, (...)

Traité politique, V, §06

Il faut le noter encore, l’État que j’ai dit qui était institué à cette fin de faire régner la concorde, doit être entendu comme institué par (...)

Traité politique, V, §07

De quels moyens un Prince omnipotent, dirigé par son appétit de domination, doit user pour établir et maintenir son pouvoir, le très pénétrant (...)