CHAPITRE XX : Où l’on montre que dans un État libre il est loisible à chacun de penser ce qu’il veut et de dire ce qu’il pense.

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TTP - Chap. XX - §§1-5 : Comment concilier liberté de penser et de parler avec la paix de l’État et le droit du souverain ?

[1] S’il était aussi facile de commander aux âmes qu’aux langues, il n’y aurait aucun souverain qui ne régnât en sécurité et il n’y aurait pas (...)

TTP - Chap. XX - §§6-10 : Chacun peut dire et enseigner ce qu’il pense sans danger pour la paix, à la condition de laisser au souverain décider quant aux actions.

[6]Des fondements de l’État tels que nous les avons expliqués ci-dessus, il résulte avec la dernière évidence que sa fin dernière n’est pas la (...)

TTP - Chap. XX - §§11-13 : Le danger de la répression des pensées et des paroles.

[11] Admettons cependant que cette liberté peut être comprimée et qu’il est possible de tenir les hommes dans une dépendance telle qu’ils (...)

TTP - Chap. XX - §§14-18 : L’opposition dans la concorde.

[14] Pour que la fidélité donc et non la complaisance soit jugée digne d’estime, pour que le pouvoir du souverain ne souffre aucune diminution, (...)