CHAPITRE XVII : Où l’on montre que nul ne peut transférer en totalité ce qui lui appartient au Souverain et que ce transfert n’est pas nécessaire. De l’État des Hébreux : quel il fut du vivant de Moïse, quel après sa mort, et de son excellence ; enfin des causes pour quoi l’État régi par Dieu a péri et, durant son existence, n’a presque jamais été libre de séditions.

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TTP - Chap. XVII - §§1-6 : Le droit et le pouvoir souverain de l’État, les conditions de sa conservation.

A. §§1-3 : Droit et pouvoir souverain de l’État.
[1] Les considérations du chapitre précédent sur le droit universel du souverain et sur le (...)

TTP - Chap. XVII - §§7-10 : L’État des Hébreux : son institution après la sortie d’Égypte.

[7] Nous avons dit plus haut, au chapitre V, qu’après leur sortie d’Égypte les Hébreux n’étaient plus tenus par le droit d’aucune autre nation (...)

TTP - Chap. XVII - §§11-15 : L’État des Hébreux : son administration.

[11] En premier lieu, il fut ordonné au peuple de construire une demeure qui fût comme la cour de Dieu, c’est-à-dire de la Majesté suprême de (...)

TTP - Chap. XVII - §§16-25 : L’État des Hébreux : les avantages de sa constitution.

[16] Ces principes posés, il est temps de voir comment le pouvoir institué dans ces conditions pouvait exercer sur les âmes une action (...)

TTP - Chap. XVII - §§26-31 : L’État des Hébreux : les causes de sa destruction.

[26] Il nous reste à rechercher les causes qui ont pu amener les Hébreux à faire tant de fois défection à la Loi ; à être si souvent asservis et (...)