Chapitre 10 - L’aristocratie (fin)

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Traité politique, X, §01

Après avoir exposé les principes fondamentaux des deux types d’État aristocratique, reste à rechercher s’il existe quelque cause intérieure (...)

Traité politique, X, §02

Il n’est pas douteux au contraire (par le § 3 du chapitre VI) que si, maintenant la forme de l’État, le glaive du dictateur pouvait se dresser (...)

Traité politique, X, §03

Les tribuns du peuple aussi étaient perpétuels à Rome, mais incapables de triompher de la puissance d’un Scipion ; ils devaient en outre (...)

Traité politique, X, §04

Toutefois cette autorité des syndics pourra faire seulement que la forme de l’État se maintienne, empêcher que les lois ne soient violées et que (...)

Traité politique, X, §05

Pour parer à ce mal on a souvent tenté d’édicter des lois somptuaires, mais en vain. Car toutes les règles qui peuvent être violées sans que (...)

Traité politique, X, §06

Ma conclusion donc est que ces vices inhérents à l’état de paix dont nous parlons ici, ne doivent pas être combattus directement mais (...)

Traité politique, X, §07

Si nous considérons les principes fondamentaux des deux États aristocratiques décrits dans les deux chapitres précédents, nous verrons que cela (...)

Traité politique, X, §08

Dans un État qui vise uniquement à conduire les hommes par la crainte, c’est plutôt l’absence de vice que la vertu qui règne. Mais il faut mener (...)

Traité politique, X, §09

Cela posé, voyons maintenant si des États de la sorte décrite peuvent par quelque cause tenant à eux-mêmes être détruits. Si un État cependant (...)

Traité politique, X, §10

On peut nous objecter que, bien qu’elles soient sous la protection de la raison et des affections communes, ces lois de l’État précédemment (...)