EII - Proposition 39 - corollaire

  • 26 avril 2004

Il suit de là que l’Âme est d’autant plus apte à percevoir adéquatement plusieurs choses, que, son Corps a plus de propriétés communes avec les autres corps. [*]


Hinc sequitur quod mens eo aptior est ad plura adæquate percipiendum quo ejus corpus plura habet cum aliis corporibus communia.


[*(Saisset :) Il suit de là que l’âme est propre à percevoir d’une manière adéquate un plus grand nombre de choses, suivant que son corps a plus de points communs avec les corps extérieurs.

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