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S’il appartient cependant à la nature de la pensée de former des idées vraies, comme on l’a montré dans la première partie, il faut chercher ici ce que nous entendons par les Forces et la Puissance de l’entendement. Or, si c’est la partie principale de notre Méthode de connaître parfaitement les forces de l’entendement et sa nature, nous nous voyons nécessairement obligés (par ce qui a été dit dans cette deuxième partie de la méthode) de déduire cette connaissance de la définition même de la pensée et de l’Entendement.
Quod si vero ad naturam cogitationis pertineat veras formare ideas, ut in prima parte ostensum, hic iam inquirendum, quid per vires et potentiam intellectus intelligamus. Quoniam vero praecipua nostrae methodi pars est, vires intellectus eiusque naturam optime intelligere, cogimur necessario (per ea, quae in hac secunda parte methodi tradidi), haec deducere ex ipsa cogitationis, et intellectus definitione.